Nos impressions sur le PlayStation VR

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PS4

Après de longs mois d’attente et plusieurs prises de contact sur différents salons, nous avons pu mettre la main il y a quelques jours sur la version finale du PlayStation VR ainsi que sur une belle sélection des différents jeux qui accompagnent son lancement. C’est donc dans le confort et la quiétude de notre salon de test que nous avons cette fois pu approfondir le ressenti de l’expérience proposée, et force est de constater qu’elle se montre plutôt convaincante.

Si vous êtes un lecteur régulier de NeoPF, vous savez déjà que c’est grâce à un superbe PlayStation VR Media Kit VIP fourni par Sony que nous pouvons dès aujourd’hui vous parler en détails de l’expérience de réalité virtuelle proposée par le constructeur japonais : inutile donc de revenir sur l’impressionnant contenu du paquet, mais il paraît en revanche important de clarifier certains points sur l’équipement nécessaire et recommandé pour profiter au mieux de cette nouvelle manière de jouer.

Bien vérifier la checklist !

Au risque d’enfoncer des portes ouvertes (mais sait-on jamais ?), on commencera par rappeler que le PlayStation VR nécessite une PlayStation 4 (de base ou Pro lorsque celle-ci sortira le 10 novembre prochain) pour fonctionner : inutile de tenter le coup avec votre PS3, votre Xbox One ou votre PC, vous seriez immanquablement déçus !

Le pack PlayStation VR que vous pouvez vous procurer dès aujourd’hui pour 399€ contient quant à lui :

  • Le casque PlayStation VR
  • Un petit boîtier baptisé « processeur » sur lequel nous reviendrons dans un instant
  • Son alimentation
  • Tous les câbles nécessaires pour relier tout ce petit monde à votre télé
  • Des oreillettes
  • Un disque de démos

De quoi a priori se lancer immédiatement dans l’aventure, sauf qu’il manque à cette liste un élément indispensable pour que le système fonctionne : la PlayStation Camera vendue séparément pour 60€, et qui permet à la console de suivre les déplacements du casque et des manettes dans l’espace.

On entend déjà les râleurs au fond de la salle crier à l’arnaque, aussi convient-il d’expliquer cette décision apparemment curieuse de Sony : si l’on ne peut nier le fait que la manœuvre permet de vendre le casque à un prix plus attractif, il faut aussi rappeler que la fameuse caméra est en vente depuis le lancement de la PS4 et que de nombreux joueurs l’ont peut-être déjà acquise. Inutile donc pour eux de l’avoir en double, et c’est le détenteur de trois ou quatre PlayStation Eye (la caméra PS3) et autant d’EyeToy (PS2) qui vous le dit ! Alors certes le constructeur aurait pu proposer des packs avec et sans PlayStation Camera, mais il ne fait aucun doute que le message n’en aurait été que plus complexe auprès du grand public sans forcément lui faire réaliser de grosses économies…

Histoire d’être complet, précisons tout de même que la PlayStation Camera proposée aujourd’hui est une révision importante du modèle d’origine qui pourra se fixer plus aisément sur votre télé ou être posée de manière plus stable sur un meuble : la première version tendait en effet à bouger toute seule par simple tension de son câble USB ou au moindre courant d’air, et il ne fait aucun doute que ceux qui ne l’avaient pas encore achetée auront tout intérêt à opter pour le nouveau modèle.

Compléter son équipement

S’il est parfaitement possible de profiter de la plupart des jeux PlayStation VR avec une simple DualShock 4, certains titres (Batman Arkham VR, Tumble VR, Until Dawn : Rush of Blood entre autres) offrent une maniabilité plus intuitive avec un PlayStation Move tandis que d’autres imposent l’utilisation d’un ou deux de ces accessoires. Pour rappel, celui-ci date de l’ère PlayStation 3 et était apparu avec le PlayStation Eye de cette dernière, si bien que certains d’entre vous sont peut-être déjà équipés. Dans le cas contraire, vous pouvez vous équiper moyennant 40€ pour un Move ou 80€ pour deux.

Profitons-en pour insister sur l’utilité de la dragonne fournie avec le contrôleur, en particulier dans le cadre d’un jeu en réalité virtuelle : il n’est déjà pas très agréable de lancer par mégarde sa manette à travers la pièce (surtout si elle atterrit dans l’écran 4K tout juste acquis en prévision de la PS4 Pro !), mais il est encore plus pénible de devoir retirer son casque audio et son PlayStation VR pour pouvoir partir à sa recherche !

Un budget important et pourtant maîtrisé

A ce stade, il nous paraît important de faire le point sur l’investissement nécessaire pour profiter du PlayStation VR en fonction de votre équipement actuel, et de le comparer au coût des autres solutions de réalité virtuelle disponibles sur PC.

Cas 1 : vous n’avez aucun équipement, même pas la console !

Matériel

Coût (€)

Config min

Coût (€)

Config max

PlayStation 4 Slim 500 Go

299

 

PlayStation 4 Pro

 

399

PlayStation VR

399

399

PlayStation Camera

60

60

PlayStation Move (x2)

 

80

TOTAL

758

938

Cas 2 : vous avez déjà la console

Matériel

Coût (€)

Config min

Coût (€)

Config max

PlayStation VR

399

399

PlayStation Camera

60

60

PlayStation Move (x2)

 

80

TOTAL

459

539

Cas 3 : vous avez la console et la PlayStation Camera

Matériel

Coût (€)

Config min

Coût (€)

Config max

PlayStation VR

399

399

PlayStation Move (x2)

 

80

TOTAL

399

479

Cas 4 : vous avez tout sauf le PlayStation VR

Vous êtes à 399€ de la réalité virtuelle by Sony !

Coût des solutions PC

Côté PC, deux casques de réalité virtuelle se partagent le marché à l’heure actuelle : le HTC Vive de Valve vendu 899€, et l’Oculus Rift proposé à 699€. Si ces deux accessoires offrent une technologie plus pointue que celle du PlayStation VR, notamment dans la résolution de leurs écrans (2160x1200 contre 1920x1080 chez Sony), ils coûtent donc nettement plus cher d’autant qu’il faut leur associer un PC suffisamment puissant : comptez de 500€ à 1500€ de plus en fonction de votre équipement actuel et des performances recherchées. A noter que l’expérience proposée par l’Oculus Rift peut être améliorée avec les manettes Oculus Touch vendues la bagatelle de 199€ l’unité !

Vous l’aurez compris la solution proposée par Sony est pour le moment la plus abordable du marché, et nous allons voir que malgré ses spécifications techniques moins impressionnantes que la concurrence, elle n’en offre pas moins une expérience de réalité virtuelle des plus convaincantes.

Une installation facile mais des câbles en pagaille

Autant vous prévenir, votre salon aura tout d’une centrale électrique une fois le PlayStation VR installé. Jugez plutôt : vous allez en premier lieu vous assurer que votre PlayStation Camera est bien reliée à votre console via le connecteur dédié à l’arrière. Vous allez ensuite placer le processeur non loin de votre console puisque les deux modules seront ensuite reliés de deux manières : d’abord par un câble USB, et ensuite par le câble HDMI qui reliait au départ votre console à votre téléviseur. Débranchez-le côté console puis reliez la télé au processeur. Vous pouvez ensuite utiliser le câble HDMI fourni avec le casque pour relier le processeur à la console. Vient l’installation de l’alimentation du boîtier, puis le casque lui-même qui se branche sur le processeur via deux fiches HDMI colorées et de formes différentes pour éviter de se tromper. Enfin, vous brancherez les oreillettes au petit module de contrôle blanc situé sur le câble du casque, qui permet grâce à ses boutons d’allumer ce dernier et de régler le volume.

Si vous avez tout suivi (et dans le cas contraire ne vous inquiétez pas, les schémas fournis avec le casque sont beaucoup plus clairs que le paragraphe ci-dessus !), vous aurez compris que le processeur fait quasiment office de « cerveau » du système PlayStation VR puisqu’il est relié à toutes ses composantes à l’exception des manettes et de la caméra. Pas moins de 6 câbles y sont reliés (1 HDMI PS4, 1 HDMI TV, 2 HDMI casque, USB PS4, alimentation), et il est impératif qu’il soit sous tension pour que le signal vidéo de la console parvienne jusqu’au téléviseur, même si vous ne comptez pas vous servir du casque pour votre session de jeu.

Pour faire simple et au cas où le procédé vous intéresserait, le processeur est chargé de recevoir les images calculées par la console et de les transmettre aux deux écrans du casque, de spatialiser le son pour le transmettre aux oreillettes, et de recalculer une image « normale » (à partir de celle envoyée à l’œil droit) à transmettre à la télé pour « l’écran social » qui permet aux spectateurs de voir ce que voit le joueur équipé du PlayStation VR.

Un confort indéniable

Câblage mis à part, et c’est de toute façon un mal nécessaire à l’heure actuelle y compris pour les solutions PC, le PlayStation VR se révèle extrêmement simple d’emploi et particulièrement ergonomique : là où la concurrence propose des straps pour fixer l’accessoire sur la tête du joueur, les ingénieurs de Sony ont conçu un arceau solide mais extensible qui permet de « chausser » le casque rapidement et de l’adapter à toutes les morphologies. Une fois celui-ci bien arrimé, il suffit de faire coulisser la visière pour approcher les écrans, des obturateurs en plastique situés autour du nez et sous les yeux empêchant le jour d’entrer dans cette simili chambre noire.

Autre bon point, le poids du casque est intelligemment réparti et ne pèse pas outre-mesure côté visière comme on aurait pu s’y attendre. De fait, il est tout à fait possible d’enchaîner les heures de jeu sans ressentir la moindre douleur au niveau du cou, même si d’autres facteurs sur lesquels nous reviendrons bientôt vous obligeront peut-être à faire des pauses régulières. A noter que ces dernières sont toute façon conseillées par le constructeur !

Histoire de pinailler, on pourra évoquer le problème de récupération des manettes ou de mise en place des écouteurs une fois le casque porté : il est évidemment difficile de localiser des objets autour de soi une fois l’accessoire en place, aussi vous conseille-t-on de bien préparer votre aire de jeu avant de vous équiper ! En cas de souci et si vous préférez éviter d’enlever complètement le casque, vous pouvez toujours repousser la visière au maximum et baisser les yeux pour trouver ce qu’il vous manque.

Une immersion réussie

Maintenant que vous savez tout sur les aspects pratiques, techniques et tarifaires du PlayStation VR, il est sans doute temps de s’intéresser à l’expérience qu’il propose. Evidemment celle-ci dépend largement du jeu essayé, mais quelques généralités peuvent tout de même être tirées de la quinzaine de titres en notre possession.

Commençons par ce qui constitue vraisemblablement le seul point noir de l’accessoire : la résolution relativement réduite de ses écrans. Deux phénomènes en découlent : des décors qui manquent parfois de détails, en particulier lorsqu’on regarde au loin, et un aliasing plus fréquent et prononcé que sur les jeux PS4 classiques. Si le second point varie énormément d’un titre à l’autre, certains s’en sortant même avec les honneurs, le premier est presque une constante qui ne nuit toutefois pas forcément à l’immersion : il ne saute aux yeux (sans mauvais jeu de mot) que lorsque vous restez statique dans le monde du jeu, et se fait oublier dès que vous êtes en mouvement. Curieusement, certains jeux tels que DriveClub VR sont victimes du phénomène avec des arbres pixellisés à quelques dizaines de mètres de votre voiture, mais parviennent à proposer une interface en overlay tout à fait lisible, y compris pour les plus petits caractères. Nul doute que les spécialistes techniques du forum nous éclaireront sur ce point !

Si d’une manière générale on constate donc que les jeux PlayStation VR sont moins fins que les autres productions PS4, il est important de souligner qu’ils sont en revanche tous parfaitement fluides. Il faut dire que le moindre soubresaut dans la vitesse d’affichage détruirait immédiatement tout sentiment d’immersion, ce dernier étant directement lié à une corrélation précise et rapide entre vos mouvements de tête et les images fournies à vos yeux par les écrans du casque. De ce point du vue le système mis au point par Sony ne souffre aucun reproche, et l’on se surprend durant les premières minutes à regarder tout autour de soi pour vérifier si les développeurs de tel ou tel jeu ont bien pensé à modéliser l’ensemble du lieu dans lequel on se trouve !

Une fois terminée cette petite phase d’adaptation, on peut commencer à se focaliser sur le jeu en lui-même et oublier complètement l’aspect matériel pourtant presque effrayant au départ : tous les jeux PlayStation VR auxquels nous avons joué (soit la majorité de ceux disponibles aujourd’hui !) sont parvenus à nous transporter ailleurs que dans notre salon et à nous plonger dans leur propre univers. Qu’il s’agisse de Gotham avec Batman Arkham VR, de circuits avec DriveClub VR, de fonds sous-marins avec PlayStation VR Worlds ou d’un train fantôme avec Until Dawn : Rush of Blood, il ne faut guère plus de quelques minutes pour faire abstraction de la réalité et s’immerger dans les mondes virtuels proposés. Etonnant voire inquiétant, mais preuve que le système fonctionne malgré des expériences de jeu pas toujours très novatrices voire parfois extrêmement basiques.

Pour une expérience encore plus convaincante, nous ne saurions que trop vous conseiller d’utiliser les oreillettes fournies avec le casque, ou encore mieux un casque audio circum-aural (qui couvre les oreilles) de votre choix : un classique système 5.1 vous suffira certes à être plongé au cœur de vos jeux, mais il ne pourra rendre les modifications du son liées à vos mouvements de tête, ce dont le processeur se charge au travers d’un casque ou d’oreillettes. Les jeux d’horreur type Until Dawn : Rush of Blood ou Here They Lie jouent évidemment beaucoup sur ce type d’effet, alors autant se mettre dans les meilleures conditions pour en profiter !

La question des nausées

Ceux qui s’intéressent depuis longtemps à la réalité virtuelle savent sans doute que les différents systèmes imaginés jusqu’ici peuvent, selon les personnes et les expériences proposées, causer certaines gênes à l’utilisateur. Au niveau le plus simple, il paraît évident que les personnes sujettes au vertige seront vraisemblablement mal à l’aise à l’idée de se percher au sommet d’un building de Gotham pour admirer la ville en contrebas : votre serviteur qui n’est pourtant pas effrayé par le vide se cramponnait à son fauteuil en se penchant par-dessus la balustrade de pierre pour apercevoir les passants dans la rue ! Mais le phénomène le plus gênant réside sans doute dans l’apparition de nausées sur certains jeux. Il s’explique en grande partie par le fait que ce que voient nos yeux ne correspond pas à ce que ressent notre corps (les accélérations vues à l’écran ne sont pas réellement subies !), ce qui perturbe notre cerveau confronté à des signaux contradictoires.

Si l’on en croit les avertissements systématiquement affichés avant le lancement d’un jeu PlayStation VR, les personnes souffrant du mal des transports seraient plus à risque que les autres. Mais, une fois encore, votre serviteur qui n’a aucun problème du genre en avion, en voiture ou en bus a connu quelques déboires sur certains jeux PSVR : la première expérience avec le casque sur DriveClub VR à la Paris Games Week 2015 s’était révélée éprouvante (il s’agissait d’une démo en mode passager !), tandis que quelques minutes en compagnie d’EVE : Valkyrie à l’E3 2016 avaient failli avoir raison de notre petit déjeuner. La gêne s’est révélée beaucoup moins présente lors de nos sessions de test des jeux de lancement du système, mais quelques titres nous ont obligés à marquer des pauses plus fréquemment que d’autres. On pense encore à DriveClub VR, à Until Dawn : Rush of Blood ou encore à Battlezone. Précisons tout de même que le phénomène semble s’estomper au fil des jours et des heures accumulées avec l’accessoire : peut-être faut-il tout simplement habituer notre corps à cette nouvelle façon de jouer !

Les jeux du lancement

Maintenant que vous avez décidé de sauter le pas et d’acquérir un PlayStation VR flambant neuf, il n’est peut-être pas inutile de vous dresser la liste des jeux disponibles à son lancement :

De nombreux autres titres sont actuellement en développement, et certains jeux PlayStation 4 classiques offriront aussi une composante VR pour vous permettre de profiter du casque.

L’attente aura été longue mais les possesseurs de PlayStation 4 ont enfin accès à la réalité virtuelle grâce au PlayStation VR. Le ticket d’entrée paraîtra sans doute encore un peu cher à de nombreux joueurs, mais il reste tout de même très compétitif par rapport aux solutions disponibles sur PC à l’heure actuelle. Et si la résolution des écrans du casque peut paraître un peu légère à l’heure où tout le monde parle de 4K, force est de reconnaître que l’expérience se montre plutôt convaincante sur la grosse quinzaine de jeux en notre possession. Espérons maintenant que quelques projets novateurs viendront exploiter la technologie de sorte à offrir des expériences de jeu uniques et rafraîchissantes, ce qui entraînerait sans doute une adoption plus large et plus rapide de l’accessoire par le grand public.

Les commentaires
Le
Très bonne rédaction les gas ;)
Perso je sens que Sony va nous proposer un PSVR avec une meilleure résolution pour l'année prochaine, comme pour la Ps4 pro... J'attends encore avant de me l'offrir...
Le
Ben tu vois plus je joue au PSVR et plus je me dis qu'il ne manque vraiment pas grand-chose pour qu'il soit parfait: a part cette histoire de resolution qu'on oublie tout de meme souvent en jeu, on a du mal a lui reprocher quoi que ce soit. Je dois dire que je ne m'attendais pas a un truc aussi convaincant. Donc un PSVR+ avec une meilleure resolution (pour la PS4 Pro je n'y crois pas trop mais peut-etre pour la PS5), je suis 100% pour. :P
Le
Ouais il est carrément top le PSVR. Hier j'ai découvert que l'on pouvait passer la tête dehors quand on est dans l'avion dans RIGS, j'étais sur le cul, ca rendait trop bien avec le bruit du moteur :D
Le
WestDogg57 a écrit :Très bonne rédaction les gas ;)
Perso je sens que Sony va nous proposer un PSVR avec une meilleure résolution pour l'année prochaine, comme pour la Ps4 pro... J'attends encore avant de me l'offrir...
Oui, avec la nouvelle politique de Sony, autant attendre à présent le nouveau volet :/ :D Par contre je tablerai pour le lancement de la PS5 d'ici 2 ans avec un pack tout compris à 600 euros :mdr:

Quoique, sauf si le PSVR se ramasse gracieusement dans les mois à venir.
Le
Bejita a écrit :
WestDogg57 a écrit :Très bonne rédaction les gas ;)
Perso je sens que Sony va nous proposer un PSVR avec une meilleure résolution pour l'année prochaine, comme pour la Ps4 pro... J'attends encore avant de me l'offrir...
Oui, avec la nouvelle politique de Sony, autant attendre à présent le nouveau volet :/ :D Par contre je tablerai pour le lancement de la PS5 d'ici 2 ans avec un pack tout compris à 600 euros :mdr:

Quoique, sauf si le PSVR se ramasse gracieusement dans les mois à venir.

Je dis pas non pour le pack Ps5 ;) et je pense pas que le PSVR se ramasse, beaucoup de gamers le veulent mais il économise encore pour l'acheter ou attend une baisse de prix.
Le
Je vais attendre...
J'en ai marre de prendre de suite des trucs qui ne servent que quelques mois avant de tomber dans l'oubli.

D'abord, j'irai le tester.
Ensuite, j'attendrai de voir si le support en jeux qui valent vraiment la peine, c'est à dire des jeux qui ne sont ni des démo technique pour VR, ni des ajouts inutiles dans des jeux classiques sortent, même après six mois du lancement.
Enfin, est-ce que la PS4 Pro apportera un plus ou non.