Le Rouge a Ă©crit : âjeu. 8 oct. 2020 18:30
Attend faut pas exagĂ©rer. Je vais pas changer mon langage au risque d'heurter celui oĂč celle qui lit.
Tout acte non consenti est douloureux et qu'importe la zone.
Et le fion, tout fini par là donc non celui qui se croit victimisé doit aller voir un psychologue.
Pour ĂȘtre parfaitement sĂ©rieux genre le mec qui a des hĂ©morroĂŻdes, ca touche plus de gens que le nombre que constitue la population homosexuelle. Donc quand je dis que j'ai mal au fion, faut donc que j'arrĂȘte de le dire parce que ça fait mal aux gens qui ont des hĂ©morroĂŻdes ?
On en finit jamais !
Je viens, j'explique simplement et a aucun moment je ne me suis pose en victime.
Et je vais pas m'engager sur les "contre exemples" foireux.
Tonio_S a Ă©crit : âjeu. 8 oct. 2020 18:38
C'est pareil pour "se faire baiser" et lĂ , ça alimente les connotations pĂ©joratives sur les personnes qui font du sexe ? Faut arrĂȘter le dĂ©lire excuse moi, tu dessers le combat contre l'homophobie lĂ .
Almamida, numéro 1 pour réussir à faire du hors sujet
Je ne suis pas la pour servir ou desservir la cause. Tu juges que je la dessert, c'est ton jugement, et je ne lui apporterai pas la meme valeur que le mien sur ce sujet.
Je pars d'un principe. Quand quelqu'un d'un groupe marginalise vient m'expliquer que ce que je fais peut ĂȘtre mal percu ou pire vĂ©hiculer des prĂ©juges qui portent prejudice, mon premier rĂ©flexe n'est pas de lui expliquer que ce qu'il ou elle vit est de la fiction. J'essaye de comprendre ce que l'on me dit.
Je ne serai jamais en position de juger si telle chose est raciste ou pas par exemple, étant moi meme blanc. Et il serait je pense malvenu, de tenter d'expliquer a une personne de couleur que ce qu'elle vit ( et que je ne vis pas ) au quotidien est valide ou nom.