Sans jamais être en mesure de rivaliser avec les grosses licences ni prétendre à être le jeu de baston de l’année, Omen of Sorrow a le mérite d’offrir une alternative tout à fait fréquentable troquant les habituels types en kimono par des créatures issues de l’imaginaire fantastique. Peu nombreux mais tous différents, ces damnés s’illustrent en solo surtout dans le mode campagne scénarisé et les fiches du mode arcade leur offrent un background intéressant. La réalisation n’est pas aussi spectaculaire qu’on aurait voulu et le manque de remplaçants sur le banc limite l’attrait des parties multijoueurs au bout de quelques heures, mais cette production mérite un certain regard pour son côté série B décomplexée.
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[Test PF] > Test Omen of Sorrow (PS4)
Jeu concerné : Omen of Sorrow
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