La propension à crier à la preuve quand l’évidence est là me terrifie. Quand j’ai grandi, on avait espoir que les caméras, les photos, les satellites et les réseaux sociaux allaient permettre d’agir immédiatement et de se rassurer que « plus jamais ça ». À bientôt 40 ans, la désillusion est dure
